Par Sylvie Chayette
Les gros mots sont utiles :
ils permettent de signifier que l’on déprécie ou apprécie quelque chose, d’insulter quelqu’un ou encore de soulager une frustration. Mais pas seulement. Richard Stephens, docteur en psychologie à l’université de Keele, en Angleterre, a dirigé plusieurs expériences qui prouvent que les jurons ont également pour vertu de soulager la douleur physique. Mais alors, dans ce cas, pourquoi ne pas en proférer plus souvent et continuer de les interdire ? Explications en images.
Les gros mots sont utiles.
Ils permettent de signifier qu’on n’aime pas ou au contraire qu’on aime beaucoup. Ils peuvent également servir à insulter ou encore à se soulager d’une frustration. Ce que l’on sait moins, c’est que les jurons soulagent de la douleur. Pour le prouver, Richard Stephens docteur en psychologie à l’université de Keele en Angleterre a dirigé plusieurs expériences. Malgré tout, il ne faut pas le banaliser. Car pour que le gros mot reste un gros mot, il doit rester tabou. Sinon, il n’aura plus aucun effet sur la douleur.